Mes mémoires

Cela faisait plusieurs jours que rien de nouveau dans le royaume ne c'était produit, l'alliance n'avait envoyé aucune nouvelle, les habitants étaient de plus en plus nombreux et mon royaume grandissait de jour en jour. Pour faire simple, je m'ennuyais.
Je repensais donc à tous ce qui c'était passé depuis le commencement de mon royaume, les batailles livrées contre des ennemis puissants et contre des ennemis faibles mais embêtant.
La guerre m'aurais fait plaisir car lorsque nous sommes en guerre, on ne peut pas nous reprocher d'attaquer nos ennemis et les ennemis sont préparés aux attaques ou du moins il savent que cela risque d'arriver mais d'un autre côté, si une guerre se déclare les plus faibles de l'alliance pourront être des cibles pour nos ennemis et cela pourrait freiner leurs ascension dans le monde d'Ilshenar.
Aucune alternative à l'ennui ne s'offrait à moi. M'ayant fait remonté d'anciens souvenir, cet ennui pourrait peut être me servir à enfin commencer mes mémoires.
Je suis encore jeune et bien portant mais comme le disait si bien Partiuy " On ne sait jamais de quoi est fait le lendemain alors prépare toi !".
En ce texte je retracerais comment je suis devenu le dirigeant d'un royaume.

Nous étions 10 au départ, lorsque Ally, notre compagnie, fut créée : Quary ancien garde royal expulser sur des rumeurs de coucherie, Crogh un guerrier épéiste aussi grand philosophe ayant un certain succès avec la gente féminine, Balthy un grand gaillard qui utilise un marteau de guerre nain et qui n'abandonne jamais un combat avant de le gagner, Partiuy le vétéran de la compagnie qui d'après ses dires est né sur un champs de bataille et d'après son style de combat cela pourrait être vrai, Mangorin un double épéiste héros chez lui suite à la défense de son village contre des hordes de mort-vivants, Yssur un elfe archer redoutable capable de toucher une aile de mouche à 500 pas sans avoir la mouche, Ogray le magicien du groupe qui a suivi les cours des plus grands mages et en avait dépassé certains, Ramo un nain kleptomane capable de voler une monture royale lorsque son propriétaire était dessus, Lostiane une fière navigatrice aussi près de ses pièces d'or que de ses couteaux de lancers et pour finir moi, Jerez fils de mercenaire ayant reçus une bonne éducation aussi bien militaire qu'économique pouvant utiliser tout type d'armes mais avec une préférence pour la hache démoniaque à double tranchant transmise de père en fils. Bien que mon père souhaitais que ma vie soit différentes de la sienne, j'ai suivi sa voie après sa mort face à un chef de tribu du nord qui l'avait défié en duel lors de la défense d'une citée. Malheureusement il avait enduit sa lame de poison et mon père était condamné dès sa première blessure, son adversaire recula donc jusqu'à ce que mon père s'écroule. Son arme fut récupéré par Partiuy qui me la donna lorsqu'il m’annonça sa mort et la fuite du chef de tribu. Cela me pris cinq ans mais j'ai fini par le retrouver et le tuer.
Lostiane nous quitta la première lorsque Ogray nous débarrassa d'un dragon qui, dans son dernier souffle de vie, cracha son feu magique sur Lostiane et la brula sans que nous ne puissions rien faire.
Ramo quand à lui à été rappeler dans sa famille suite à la mort de son oncle qui lui légua une fabuleuse grotte dans le Mont Lance-Pierre remplie de pierres précieuses, d'or, d'armures magiques et d'autres trésors plus extraordinaire les uns que les autres, il n'aura donc plus besoin de voler mais nous savions tous qu'il ne pourrait jamais vraiment s’arrêter.

Un nouveau contrat nous avez été confiés. Le commanditaire, un vieux seigneur de l'Ile d'Assaron, nous avez donné rendez-vous dans village, Arthy.
La somme de pièces d'or offert était assez alléchante mais nous ne connaissions toujours pas en quoi consisté le contrat car nous avions seulement l'information qu'il était question d'un sauvetage.
Partant du Port Miséreux où se trouvait notre repaire nous avons mis deux jours pour rejoindre le village du commanditaire.
Arrivé dans le village, nous fûmes reçus dans une veille battisse. Le rez de chaussé avez été battis en pierre d'Assaron, connu pour sa grande résistance, alors que le premier et le second étage été fait de bois précieux des terres glacées, aussi solide que le roc. Il y avait de nombreuses traces d'incendie sur la pierre, signe d'attaques nombreuses et les fenêtres avaient d'énormes volets en bois aussi construit afin d'en faire des meurtrières.
Le commanditaire, le comte d'Arthy, devait avoir le passé d'un soldat car il avait les mouvements souples et fluides d'un maître à l'épée. Il nous avez fait venir afin de récupérer sa fille car son armée avait été décimer par une guerre contre des créatures et le peu qui restait avez soit rejoins les kidnappeurs, soit avaient péris en essayant de la sauver.
Sachant qu'il voudrait surment venir car il semblais avoir réparer son ancienne armure et sorti son épée, nous lui avons signaler immédiatement que si nous acceptions le contrat il ne viendrait pas.
Malgrès le fait que cela lui a posé un problème, il accepta les conditions.
Il nous donna toutes les informations qu'il avait. Sa fille avait disparu voilà deux semaines et aucune demande de rançon ne lui avait été envoyé, peu de temps avant les bandits étaient devenus mieux organisés car il s'en prenait aux cibles les moins bien défendus comme si quelqu'un les prévenaient ou les informaient de ces différentes cibles. Lorsque sa fille avait disparu, il été partis vers la Forteresse de Parjhorm afin de demander de l'aide aux seigneurs administrant celle-ci mais à peine avait-il débuté son voyage qu'un coursier l'avait rejoins à toute vitesse l'informant de la nouvelle.
Il avait donc envoyé ses meilleurs éléments à sa recherche et ceux qui sont revenus ont suivit les traces de sa fille jusqu'au repaire des bandits.
Il nous avoua qu'il ne s'occupait pas assez bien de sa fille depuis qu'une horde de prétendant venais lui rendre visite, il avait d'abord pensé qu'elle avait fuit avec l'un d'eux mais cela aurait été préférable.

Après avoir écouté ce vieux guerrier nous avons donc pris le chemin du repaire des bandits afin de délivrer sa fille, un boulot rapide, facile et qui rapport gros voilà ce que nous en pensions.
Yssur, aidé d'Ogray trouva facilement leurs repaires malheureusement celui-ci été bien défendu et pourvu d'une large palissade en bois. Pas de quoi poser des problèmes à Ogray mais nous aurions alors tous ces voleurs sur le dos, nous devions donc trouver un plan.
A peine de retour à Arthy, un plan se forma dans ma tête. Une caravane de marchand devait passer dans la forêt dans laquelle se trouvait leur repaire. Un plan facilement réalisable et qui ne comportait pas de grand risque, ils allaient protéger la caravane pendant ce temps là j'irais dans la forêt et je vivrait de chasse pendant un certains temps en me faisant repérer par les bandits puis j'intégrerais leur groupe.
Un fois partis avec la caravane, il ne manquerons pas de vous attaquer n'hésiter pas à en tuer le plus possible mais vous devez au moins en laisser quelques uns en vie histoire qu'il puissent raconter ce qu'il c'est passé, la caravane doit partir dans trois jours, faite vous embaucher pour les protéger, si ils ont déjà une protection payer les afin qu'ils vous prennent, proposé leurs de travailler gratuitement ou plutôt non, cela éveillerais leurs soupçons. Donné nos références, montrer vos talents mais il est important que cela soit vous, si les autres mercenaires ne veulent pas vous laisser le contrat blesser en dans une bagarre de taverne afin qu'il ne soit plus assez nombreux ou donné leurs de l'or, bien que je pense que vous choisirais la première solution. Crogh, tu sera le chef durant mon absence, Ogray tu me contactera avec la pierre de communication après la bataille pour que je puisse prendre le chemin de leurs repaire puis je la cacherais et tu la récupérera car elle nous as coûter trop cher pour l'abandonner.
Me voilà donc, seul dans la forêt à mettre des colliers afin d’attraper des lapins. Deux bandits m'ont suivis durant le deuxième jours pour voir ce que je faisait, je suis donc allé faire un tour près de leur repaire et j'ai pris un regard étonné puis je suis retourné à mon campement afin d'avoir l'air de réfléchir à quelque chose. Comme convenu, Ogray me contactas le troisième jour et je pris donc le chemin du repaire des bandits.

Arrivé devant la palissade je me suis mis à crier pour que quelqu'un vienne m'ouvrir la porte, une dizaine d'archers me mirent en joue et un homme me parla.
« Tu n'est pas le bienvenu étranger, passe ton chemin.
- Je sais ce que vous êtes et je veux en faire partis enfin si cela vaut le coup.Lui dis-je.
- Qui te dit qu'nous avons besoin ou même envie que tu nous rejoigne.
- Tu n'est pas le chef ici cela se voit, emmène moi vers lui je ne traite pas avec les sous fifres.
- Tiens un petit malin, tu ira donc le voir mais si ce que tu dit ne lui plait pas je serait celui qui te trancheras la gorge.
- Pas de problème, mais encore faudrait-il que tu y parvienne. »
Celui qui avait parlé est donc descendu des remparts et m'a ouvert la porte. Une fois à l'intérieur j'ai vu que la place était très bien organisé, il y avait des piques de ce coté des remparts et une seconde palissade plus petite mais qui avait l'avantage de surprendre l'ennemi si il passait la première. Plusieurs baraquement de chaque côté d'une maison, qui devait être notre destination car un chef ne dort jamais avec ses soldats, était dans la palissade et vu leurs taille les bandits devaient être un bon nombre d'autant plus qu'un troisième baraquement été en construction. Derrière la maison se trouvait le camp d'entrainement avec des cibles pour les nombreux archers des mannequins pour les cavaliers et de la place pour les combattants à pieds.
Mon guide m'a introduis dans la maison et il me présenta à son chef.
La pièce n'avais été construite que dans un seul but, mettre en valeur le trône sur lequel un homme se trouvait. Derrière ce trône deux personnes était présentent une femme, qui était sans aucun doute la fille du comte, et un vieil homme qui devait être quand un lui un sorcier ce qui risquait de poser un problème.
Une sorte de cour était dans la pièce, ce voleur se prenait pour un souverain et il s'entrainait pour lorsque le titre du comte lui appartiendrais.
«Chef, cet homme vous s'joindre à nous.
- Pourquoi tu fais des histoire … bon laisse le parler nous verrons bien ce qu'il a à dire.
- Merci, alors je me présente. Je suis Jerez un ancien mercenaire et j'ai décider de quitter ma compagnie car nous avons eu des différents et ont m'en a expulsé. Je voulais venir vivre dans cette forêt quelques temps histoire de m'inventer une nouvelle vie puis de refaire une compagnie mais plusieurs de vos hommes sont venus voir mon campement et cela m'a intriguer j'ai donc décider de venir voir ce que vous faisiez et peut être me joindre à vous.
- Alors comme cela tu aurais fait partis d'une compagnie, qu'est ce qui me prouve que ce que tu raconte est la vérité ?
- Tout d'abord, je pense que l'homme derrière vous est un mystique et qu'il pourrait vérifier dans mes pensées malheureusement pour vous j'ai depuis longtemps appris à garder mes pensées secrètes ensuite je peux vous faire une démonstration de mes talents militaires en battant la personne de votre choix et je peux aussi vous apprendre quelques tactiques militaires si besoin ce fait sentir.
- Chef, j'le sent pas du tout celui là.
- Puisque tu semble ne pas l'apprécier et que tu est un de mes meilleurs éléments je vais te laisser régler ce problème par un duel.
- Avec lui, tans mieux. Par contre est ce que c'est un duel à mort ou pas ?
- Si je gagne cela voudras dire que tu sera mort minable.
- D'accord donc les règles ont étés mises au point. Vous êtes prêt ? …. Alors combattez !»

Les spectateurs venant voir avec qui leurs chef discutait se mirent en cercle. Il devait avoir tous de même avoir fait quelques batailles car malgrès le fait que ce soit un vantard il avait la posture de quelqu'un qui si connait en matière de combat. Peut de choix s'offrait à lui, une attaque avec son épée large semblait la solution qu'il prendrait mais je ne pouvait exclure qu'il me lance un couteau.
On m'avait enlevé ma hache et personne semblait vouloir me la rendre, je tendis donc la main vers la personne la plus proche de moi afin de prendre son épée courte et juste avant de m'en emparer je pris l'épée de son voisin qui était de bien meilleur facture, j'avais donc une arme.
Mon adversaire portais sa cotte de maille sur ses frusques quand à moi mes habits étaient mon armure, fait en écaille de dragons part un artisan de Nordorsk, enchanté par les meilleurs mages de l'Académie de Magincia et par Ogray ses armures sont le plus grand trésor de ma compagnie avec les pierres de communications chacune accordé avec son porteur.
Il commença en m'envoyant sont couteau droit vers mon œil droit et l'heureux propriétaire de l'épée que j'avais emprunté ne viendra jamais me demander son bien. Après quelques bottes j'avais identifié ses points faibles et les failles dans sa défense mais je ne savais si je devait réellement le tuer ou non. Après avoir bloqué un coup de taille je lui ais envoyé un crochet dans son nez, celui-ci ce mis à saigner abondamment mais étant un vétéran il ne lâcha pas son arme, il poussa un grognement et repris le combat de plus belle. Je devait finir le combat au plus vite car les survivants de l'attaque risquait de rentrer d'une minute à l'autre. Je fis donc apparaître une ouverture dans ma défense, ouverture donc il profita immédiatement mais au dernier moments mon bras s'interposa entre ma gorge et son épée. Avec un moulinet du poignet je le désarma et d'un coup de pied, il se retrouva sur le sol. L'assemblée éclata de rire devant ce spectacle ce qui énerva encore plus mon adversaire.
« Je viens de battre l'adversaire que vous m'aviez désigné je pense donc que j'ai prouvé mon talent. Je l'ai laissé en vie mais ce n'est pas un signe de faiblesse mais plutôt un signe de pleine confiance en mon talent car j'ai vu comment il combattait et je pourrait sans aucun problème le battre de nouveau.
-Je vois que tu sais te battre mais comment explique-tu que tu ais pu parer son attaque avec ton bras ?
Je ne devais surtout pas lui réveler ce secret, je pris donc la parole.
-C'est simple, une plaque d'acier nain se trouve sur mes deux avants bras et cela me permet de parer avec mes bras lorsque je manie ma hache.
-Bien, tu semble doué et je pense que ton expérience pourrait nous être profitable par contre Juraï mon mystique va essayer de lire dans tes pensées.
-Qu'il fasse mais il ne verra rien.»
Mon adversaire c'était relevé et il prit place vers son chef puis Juraï se concentra et pris la parole.
« Maaitre cela fait depuis son arrivé que j'essaye de sonder sson esprit mais je ne trouve rien.
-Alors tuons-le car on ne peut être sure de lui !
-Du calme Wut, tu as très mal pris ta défaite mais ce n'est pas un raison. Bien venu à toi Jerez dans ma confrérie.
- Merci à toi …
-Je me nomme Artiams.
-Bien Artiams, je vais retourné à mon campement histoire de prendre quelques affaires. Je sais que tu ne me fait pas vraiment confiance mais si jamais u autre que moi y va, il ne pourra pas éviter les pièges que j'ai mis.
-D'accord mais Wut t'accompagneras.
-Si je pouvais récupérer ma hache cela me ferais plaisir.
-Certainement, rendez lui sa hache et qu'ils partent sur le champs.»
Avec mon nouvel ami je pris donc la direction de la palissade pour ensuite allez directement à mon campement.

Le retour au campement se fit en silence car il ne m'aimais pas et je n'avais aucune envie de le connaître, j'avais bien fait de laisser quelques affaires pour ma compagnie car cela m'a permit de récupérer la pierre de communication. Alors que je mettais de l'ordre au campement et que j’emballai mes affaires, Wut m'adressa la parole.
« Je n’ai vu aucun piège dont tu as parlé. Qui me dit que ce n'était pas un mensonge.
- Tout d'abord le but du piège est par définition de ne pas être repéré et si jamais je voulais vraiment vous doubler il me suffirais de te tuer ici et personne ne poserais de question. Allez on retourne au camps. »

Arrivé au camps il était en pleine effervescence ce qui ne pouvait signifier qu'une seule chose, les survivants de l'attaque étaient de retour. A peine passé la porte, près d'une centaine de bandits me mis en joue avec leurs arcs et une vingtaine de bretteurs se mirent autour de moi. Un homme que je ne connaissez pas et qui semblais commander toutes ces troupes me dit que leurs chef m'attendais et voulais me parler.
Arrivé dans la pièce après avoir donné mes armes à mes gardes, Artiams me parla :
« Chef, que ce passe-t-il ?
- Alors tu as eu le courage de revenir. Je ne pensais pas que tu reviendrais après ce qu'il c'est passé. Juraï, immobilise-le afin qu'il ne puisse rien tenté de stupide. Wut tu va tout savoir.
-Qu'est ce que cela signifie ? J'ai battu un de tes guerriers et tu veux me tuer pour cela je ne vois pas pourquoi tu ne l'as pas fait au début.
-Ne fais pas l'innocent, ta compagnie s'en ais pris à mes guerriers. Ils avaient lancés une attaque sur une caravane de marchand qui devait nous rapporté gros mais sur les deux cent guerriers que j'ai envoyés seulement douze sont revenus dont cinq qui ne passeront pas la nuit.
-Si je savais que ma compagnie attaquerais tes hommes je ne serait jamais revenu, j'aurais tué Wut dans la forêt et je serait reparti sans que vous puissiez jamais me retrouver. De toute façons, il est normal que si vous avez affronté mon ancienne compagnie que très peu soit en vie je suis même étonné qu'il y ais des survivants.
- Alors comme cela tu n'était pas au courant … dommage que nous ne puissions lire dans ton esprit car nous pourrions découvrir la vérité. Par contre tu semble les apprécier.
-Je ne les apprécie pas mais je reconnais leurs valeurs. Si vous me laissé en vie je pourrais faire de tes troupes des troupes de vétérans.
-Bien, je te laisse le bénéfice du doute mais si jamais il y a le moindre problème je te ferais exécuter. Bon tu t'occuperas de l'entrainement des recrues et je te donne le commandement des troupes que ta compagnie a décimé que tu complétera avec les recrue de ton choix.
- Mais chef, pourquoi lui confier le commandement de troupes ?
-Car contrairement à toi, il a déjà commandé des troupes, les exploits de sa compagnie sont nombreux et très peu de membres sont morts.
-Merci, je vais donc commencer l'entrainement immédiatement.
- Va voir le caporal Odtu, c'est un des survivants et il doit être en train de parler aux recrue. »

Le caporal se trouvait sur une estrade et il s'adressait aux recrues
«  Lors des attaques vous devez ne laissais personnes vous barrer le chemin, chaque villageois doit être supprimé car sinon il risquent de vous tuer. Vous devez aussi …
- Ce qu'il dit n'est pas vrai.
- Qui est tu pour m'interrompre quand je parle aux nouveaux ?
- Je suis celui à qui tu va obéir car Artiams l'a décidé, je faisais parti de la compagnie qui a décimé ta troupe et j'en sais bien plus que toi sur la guerre et les batailles. Ce qu'il vous as dit est faux. Vous ne devez pas tuer tous les villageois car sinon plus jamais vous pourrais piller vous adversaire car alors il se défendront comme des lions pour essayer de survivre et alors les pertes serait encore plus lourdes pour nous. Nous devons attaqué lorsque l'adversaire n'y est pas préparé, lorsqu'il qu'il est absent ou occupé ailleurs. Mon ancienne compagnie a tuer la plupart des compagnons de cet homme, sachez que je n'en fait plus partis car il m'en ont expulsé. Je ne ferais pas de vous des tueurs du jours au lendemain mais je vous apprendrais à survivre durant les batailles pour que vous puissiez rentrer chez vous lorsque vous le voudrait et pouvoir raconter vos histoire à vos enfants plus tard. Je superviserais l'entrainement des recrues pendants quelques temps puis les meilleurs d'entre vous rejoindrons mes troupes. Ensuite je pousserais encore plus l'entrainement de ceux qui en feront partis puis lorsque je serait satisfait de vous nous pourrons alors commencer les pillages. Allez vous entrainer car cela sera vôtre unique travail durant un bon bout de temps et les fainéant ne feront pas long feu. Maintenant rompez ! 
Tandis que les recrues ce dispersaient je pris à part Odtu. Désolé d'avoir interrompu ton discours mais si je l'aurais fait plus tard il n'aurait pas compris. Tu été Caporal, tu vas maintenant passé mon bras droit car tu as déjà "vu le loup" tu m'aideras à superviser mes futures troupes, tu semble adroit avec un arc c'est pourquoi tu entrainera les recrues qui ont cette aptitude. Je compte avoir une troupe de deux cents personnes, il me faudra donc des éclaireurs, des archers, des soldats et j'aurais aimé une petite troupe de cavaliers pour la retraite dont tu choisira les membres. Je veux une quinzaine d'éclaireurs, trente cavaliers, cinquante soldats et cent archers chaque groupes aura son capitaine et je veux deux sergents pour les archers. Je m'occuperais de les choisir. Je sais que cela représente une grande responsabilité mais je pense que tu en est capable.
- Vous êtes différents des autres car jamais ont ne faisait confiance aux simples soldats comme moi. Je ne vous décevrais pas. »

Le soir arrivait vite à cette époque, c'est pourquoi deux heures après mon discours la nuit tomba sur le camps. Odtu apparu à coté de moi et m'indiqua lequel des baraquements étaient le notre, puis il me dit qu'il y avait une pièce spécialement pour le chef de troupe. Un fois dans cette pièce, je pris ma pierre de communication afin de joindre ma compagnie pour l'informer des dernières nouvelles.
« Crogh, j'ai essayer de contacter Ogray mais il devait être occupé car il ne m'a pas répondu.
- Effectivement,il dort nous avons combattu tes voleurs et il a du utiliser beaucoup d'énergie pour protéger tout le convoi. Alors quelles sont les nouvelles ?
-Tous c'est passé comme prévu, ils m'ont acceptés parmi eux. Heureusement que cette pierre fonctionne par la pensée car je suis maintenant chef d'une troupe de voleurs qui se trouve dans la pièce adjacente et entendre leur chef parler tout seul leurs paraitrez étrange. Je pense qu'ils pourront nous servir, je vais les entrainer puis lorsque l'on se débarrassera du chef des voleurs, qui se nomme Artiams en passant, ils nous aiderons. Demande au commanditaire si il le connais puis dit lui que cela va prendre près d'un mois pour que je les entraine, qu'ils me respectent et que nous fassions quelques combats. Bien sur nous allons truquer les pillages que nous allons faire. Vous après la livraison, vous contacterais Ramo car nous allons avoir besoin de lui puis vous reviendrez chez le commanditaire que vous défendrez. Comme cela ils vont perdre des troupes et les pseudo victoires que j'aurais sur vous impressionnerons tous le monde. J'ai déjà quelques idées pour les attaques que je ferais. Et de ton côté, quelles nouvelles ?
-Rien de nouveau, Quary a pris une flèche dans le bras gauche et il se pleins de ne plus pouvoir manier sa grande épée. Ogray l'a soigné mais avec le peu de force qui lui restait il a simplement fermé la plaie. Sinon, la livraison doit aller à Korandor donc heureusement que tu n'est pas venu car les elfes ont la rancune tenace. Ramo devrait venir car la dernière fois que on l'a croisé il s’ennuyait ferme. Je te recontacterais une fois la livraisons effectué et lorsque nous seront avec Ramo. Nous devrions être de retour dans une semaine.
-Bien d'ici là j'aurais entrainé mes troupes et je pousserais l'entrainement. Tu dira au comte que sa fille semble aller bien, je ne l'ais vu que peux de temps mais elle ne semble pas être prisonnière.
Au fait tu demandera à Ogray si il connait un mystique du nom de Juraï.
- Ok, a plus et fait pas de bêtise.
-Pff à dans une semaine. »

La semaine était passé et l'entrainement avait très bien fonctionné. Ma troupe était une des meilleurs sans pour autant avoir fait une seule bataille. Artiams organisait des épreuves afin de maintenir en forme tout le monde et ma troupe avait battu pas mal de monde avant de se faire éliminer par la troupe d'Artiams qui en avait été très fier. Les capitaines et les deux sergents avaient été choisi et pour l'instant je n'était revenu sur aucun de mes choix. Le capitaine des éclaireurs était un semi-elfe tout comme les deux sergents, un nain des montagnes du nord commandait les soldats et un jeune paysan du nom de Standre commandait les cavaliers quand au capitaine des archers il m'a paru évident de choisir Odtu. Ce paysan semblait naturellement doué pour le combat et il avait une mémoire exceptionnel, chaque tactique que je lui avait expliqué ou qu'il avait vu il pouvait la ressortir dans la situation qui s'imposait. Sachant que ma compagnie était de retour sur le domaine du commanditaire je pouvait lancer les attaques que je prévoyais, de plus les autres commandants subiraient de lourdes pertes. J'ai donc pris ma pierre de communication et j'ai contacté Crogh.
« Salut à toi, alors le voyage c'est bien passé ?
- Ah Jerez, oui le voyage c'est passé sans problème et Ramo nous as accompagnés. Je lui ais dit que c'était le seul qui pourrais nous aider et que ce ne serait pas facile.
- De toute façon c'est la vérité. Bon je vais te parler de 2 ou 3 idées que j'ai eu pour les "pillages" que je vais faire. Tout d'abord j'ai pensé que je pourrais lancer un faux feu sur un bâtiment, qu'Ogray ferais paraître bien plus important et quand tous les villageois regardent les flammes ou qu'ils essayent de l'éteindre alors nous volerons leurs provisions cela permettra de ne tuer personnes. Après nous pourrions attaquer lorsqu'ils font les récoltes, bien sur ils y a des gardes mais nous pourrions les assommer puis prendre certains produits ce qui aiderais serait qu'Ogray lance un sort qui les endorment pendant un certains temps ou alors mettre un somnifère dans leurs cruches. Bon de toute façons il faut que je parle à Ramo et Ogray donc je te recontacte plus tard et si jamais tu as des idées parle moi en.
- Pas de problème à toute. 
Je pris ensuite contacte avec Ramo.
Salut vieux frère, alors ta caverne aux trésors ne te manque pas trop.
- Jerez, ta veille voix ne m'a pas manquée elle et je parle même pas de ta tête. Pour ce qui est des trésors, j'ai maintenant besoin de plusieurs cavernes pour les stocker. En plus, mon grand plaisir et que cela fait complétement enrager ma famille car nous étions tous les deux considérer comme des excentriques, lui car il vendait des trésors qu'il découvrait et il dépensait son or et moi car j'avais choisi la profession de pickpocket contrairement à mon gentil frère qui lui travaillé à la mine je les entend encore me dire "tu sera pendu haut et court" hahaha. Je crois d'ailleurs que c'est pour cela que mon oncle m'a légué tous sa. Enfin, passons je ne suis pas là pour raconter des anecdotes de famille. Que puis-je faire pour toi ?
- Tu va devoir kidnapper une femme qui est surveillé nuit et jour par un mystique et une armée de plus d'un milliers de combattants. Par contre je vais devoir en discuter avec Ogray car le sort pourrait poser problème.
- Pas de souci, j’attends sans bouger hahaha mais je voudrais plus de détails après.»
Suite à ce trait d'humour douteux, je mis ma pierre en résonance avec celle d'Ogray.

Oh grand mystique, je te salut.
- Je vois que le contact avec Ramo t'a contaminé, cela fait une semaine qu'il ne fait que nous raconter des blagues plus nulles les unes que les autres.
-Avoue que cela t'avait manqué.
-C'est vrai, mais seulement un tout petit peu. Bon que voulait tu me dire ?
-Tu as des informations sur Juraï ?
-Malheureusement oui. Tu te souviens du siège de Publas lorsque les hordes de zombies ont aidés, en quelques sortes, les attaquants c'était lui. C'est un nécromancien de renom, il se vend au plus offrants et abandonne le combats dès que sa sent le roussi. Mais il est tellement doué que ceux qui ont assez d'or pour le payer le font.
-Ah un mauvais point pour nous mais comme nous t'avons cela équilibre les choses et pour ce qui est des sorts d'envoutements, il est capable d'en faire ?
- Ce n'est pas sa spécialité mais il devrait savoir en faire mais on trouve aussi en vente dans plusieurs coin d'Ilshenar.
-D'accord donc Ramo t'amenera la fille pour que tu puisse juger de son état. Bon je recontacte Ramo puis Crogh pour la suite du programme.
Je repris alors la conversation avec Ramo.
-C'est moi.
-Sans blague, j'ai cru que c'était mon oncle revenu de l’au-delà. Bon alors que dois-je faire ?
-Tu vas devoir kidnapper la femme qui ce trouve dans le campement comme prévu et la ramener devant Ogray. Tu peux l’assommer mais pas violemment parce que la dernière fois tu lui as fendu le crane. Mais bon c'était il y a longtemps, ensuite tu suivra les indications d'Ogray car il est possible que tu doive la ramener dans le camps alors fait le plus vite possible.
-La dernière fois c'était pas ma faute, il avait la maladie des os de verre. Bon j'ai compris en plus depuis la dernière fois j'ai bien amélioré mon matériel, cela a du bon d'être riche.
-Bon je te laisse je vais parler à Crogh.
J'ai donc fini par reprendre contacte avec Crogh.
-Crogh, alors tu as des idées ?
-Non aucune pour l'instant mais tu devrais commencer pas la premiers car la seconde à plus de chance de faire des victimes.
-Bon je vais commencer les attaques dans quelques temps mais vous devriez défendre différents avant-postes pour faire subir de lourdes pertes aux autres compagnies.
-Pas de problème, Ramo part directement pour voir cette fille et la ramener à Ogray.
-D'accord donc les autres commandants vont attaquer aujourd'hui les avants-postes au Nord d'Arthy et à l'Est. Donc essayez d'être présent sur au moins un des front, sinon Yssur ira à l'Est et Mangorin au Nord toi tu restera à Arthy et lorsqu'un des deux vous appellera Ogray, il téléportera le reste de la troupe à la zone du combat puis vous rejoindrais celui des deux qui reste afin de contrer les deux attaques. Pas besoin de tous les tuer mais faite les fuir. Yssur et Mangorin prendront des chevaux car je sais que la pierre de téléportation doit se recharger pendant 24 heures donc comme je ne sais pas qu'elle attaque sera la première. Mieux vaut tout prévoir. Je te recontacte ce soir pour tout savoir espérons que Ramo sera de retour et qu'Ogray aura pu examiné la fille.
-Alors à ce soir.

Alors que l'entrainement battait son plein, Odtu est venu me parler :
«Je sais que vous voulez que nous soyons tous fin prêt avant d'aller faire quelques pillages mais les recrues commencent à parler entre elles et ce n'est pas tous, les officiers discutent ensemble aussi et comme ils dinnent dans le messe des officiers tous les autres officiers et quelques autres commandants commence à parler dans votre dos. De plus toutes les autres recrues et les officiers commencent à monter les hommes contre vous alors vous devriez parler aux hommes.
- Bien je le ferais, merci de m'avoir prévenu et si jamais tu entend d'autre rumeurs viens me voir. »
Je mis donc fin à l'entrainement plus tôt que prévu et j'ai demandé à mes officiers de réunir mes hommes devant l'esplanade. Je pris ensuite la parole :
« Très bel entrainement, voilà une semaine que je vous faites passer différents tests et que je vous apprend différentes techniques de guerre. Certains n'y verront qu'une pertes de temps, quelques chose qui ne sert à rien face à des paysans sans quasiment aucune défense. Oui je vois certains hocher la tête. Mais si vous n'avez pas oublier le discours que je vous ais fait en début de semaine vous vous rappelez que mon ancienne compagnie était sur place, bien sur depuis elle n'a plus fait surface mais nous ne sommes pas à l'abri d'une autre troupe de mercenaires voir d'une armée d'un royaume voisin venu aidé le seigneur de ces terres. J'espère donc que vous avez bien retenu les techniques enseignées durant cette semaine même si ce ne sont que des techniques basiques que les vétérans pourront sans problème déjouer. Je sais que certains personnes sont mécontentes de ne pouvoir aller combattre mais tout d'abord la guerre n'est pas quelques choses de facile et de chevaleresque, c'est tuer ou être tuer et il faut aussi avoir un mental solide car lorsque vos compagnons seront blessés ils vous appellerons et si jamais vous tourné le dos à votre adversaire il plantera immédiatement son épée dans son dos. Cela ne veut pas dire que vous devez abandonner vous compagnons mais que vous devez être plusieurs avant de porter secours à votre compagnon. Bien sur cela ne sera pas la guerre mais c'est tout aussi moche. C'est pourquoi je vous ais entrainés afin que le moins possible d'entre vous soit blessés voir tués. Après cette note joyeuse, je vais vous annoncer une bonne nouvelle … Vous aurez bientôt tous votre baptême de feu, dans deux ou trois jours les pillages commenceront donc ce soir faites la fête demain matin c'est repos pour tous ! Je verrais les officiers en milieu de matinée car pas de repos pour les héros ! Et c'est ma tournée.»
Après une note néfaste je me devais de leurs faire plaisir et tous le monde sait que les soldats aiment boire et vu le tonnerre d’applaudissement que j'ai reçus ils ne retiendraient que la tournée jusqu'à demain et après la gueule de bois il se rappellerons la teneur du discours et ils parleraient entre eux pour trouver des compagnons afin de s’entre-aider lors des batailles. Donc il seront heureux ce soir et moi demain quand des groupes seront formés.

Le soir venu, j'ai donc recontacté Crogh afin d'avoir des nouvelles car aucunes des autres compagnies n'étaient encore revenues. Une fois le contact établi je lui ai donc parlé :
« Alors Crogh tout c'est bien passé ?
- Ah Jerez …. justement non, Mangorin est mort.
- Impossible personne n'aurait pu le tuer ! Même moi j'avais du mal à le battre.
- Et bien je vais tout te raconter depuis le début. Nous avons fait comme tu as dit et mis Yssur et Mangorin dans les deux avant-postes comme prévu la première attaques à eu lieu à l'Est et dès qu'Yssur nous à prévenu Ogray nous y a amenés. La bataille se déroulait très bien lorsque nous avons reçus l'appel de Mangorin la fin de la bataille était proche et nous lui avons conseillé de gagner du temps en parlementant avec les assaillants. Une fois la bataille fini et la fuite des assaillants nous avons lancés nos chevaux à brides abattus et Yssur voulant arriver plus vite il est alors parti en courant. Une fois sur place il nous à envoyé un message pour nous expliquer ce qu'il se passait. Apparemment Mangorin ne nous avait pas attendu et il avait pris avec lui le groupe restreint de défenseur afin de combattre l'adversaire, Yssur quand à lui avait réquisitionné toutes les personnes valides et leurs avait donnés les arcs supplémentaires qu'il avait toujours. Malheureusement il n'en avait que très peu, donc il les donna aux meilleurs chasseurs et les autres prirent leurs fourches afin de repousser les échelles des attaquants des remparts en bois de l'avant-poste. Une fois arrivé, Mangorin n'en pouvant plus il ouvrit les portes et se lança avec les défenseurs une percée dans les rangs ennemis. Nous étions arrivés par la porte opposée de la palissade et une fois sur place la porte avait été refermé et les ennemis étaient massés devant et une réouverture de celle-ci était devenu impossible, j'ai donc contacté Mangorin pour lui dire de revenir près de remparts afin que nous puissions le rejoindre mais, comme toujours absorbé par son combat, il ne répondit pas et ne m'entendis pas non plus. Quary, Partiuy et moi sommes descendu par une échelle afin d'essayé de le rejoindre, Ogray quand à lui est resté avec Yssur sur les remparts afin de supervisé notre avancé. Mangorin était à une centaine de mètre de nous mais il y avait une troupes entre lui et nous car ceux-ci avaient volontairement ouvert leurs rangs pour séparer en deux groupes les défenseurs. Cela aurait pu être une bonne idée si Mangorin n'avait été qu'un simple soldat mais il été passé maitre dans l'art du maniement de plusieurs épées. Par contre les défenseurs avec lui n'avaient pas l'ombre d'une chance, il furent massacrés les uns après les autres pour que finalement il ne reste plus que Mangorin entouré par les assaillants. C'est arrivé lorsque nous avons touché le sol Ogray nous à donc dit de nous dépêcher car il ne tiendrait pas éternellement. Et là quelques chose dont je me rappellerais toute ma vie se passa, un archer sur une colline mis en joue Mangorin, je me mis alors à crier à Yssur de le tuer immédiatement mais une fois que la flèche d'Yssur l’atteignit la flèche parti et elle se planta dans le seul endroit qui n'était pas protégé, sa tête. Ogray se mit alors à crier de toute ses forces de remonter immédiatement, nous voulions les massacrer mais vu le ton irrévocable d'Ogray nous lui avons immédiatement obéit. Nous avons alors très bien fait, car une fois en haut des remparts l'enfer se déchaina sur terre. Une pluie de feu, d'éclair, de rocher et les morts se relevèrent afin de combattre les vivants. Il n'y eu pas un seul survivants sur les quatre cents hommes venus pour attaquer cet avant-poste les défenseurs survivants ne purent supportés se spectacle et beaucoup vomirent devant les horreurs se déroulant devant leurs yeux. Je pense que aucun des survivants ne restera dans cet avant-poste, tous les villageois font leurs bagages et nous évitent et fuient Ogray comme la peste. J'ai discuté avec le doyen qui m'a appris ce qu'il c'est passé avant notre arrivée. Une fois que l'armée est arrivé sur place Mangorin à parlementé avec le chef des assaillants mais tout à dégénéré à cause d'une phrase dite par le porte parole : " Sale fils de pute tu n'est qu'un lâche reste donc derrière ta palissade." Bien sur il ne pouvait pas savoir que sa mère était réellement une catin mais ce qui l'a mit hors de lui c'est le fait qu'il se soit fait traité de lâche car il détesté vraiment sa mais tu le savait déjà. Suite à cette déclaration Mangorin à pris une fourche et l'a jeté de toute ses forces sur le porte parole, celui ci à donc fini coupé en deux avant de savoir ce qu'il se passait comme les deux guerriers derrière lui. Ensuite la bataille c'est déclenché et la suite on la connait tous maintenant.
- Ils ont eu ce qu'ils méritaient … désolé de ne pas être là pour la veillée funéraire.
- De toute façons il n'y a aucun corps à honorer, décidément aucune de nos veillées n'est complète.
- J'aurais voulu être là … Comment va Ogray, ils étaient très proche avec leurs haine des mort-vivants ?
- Une fois les adversaires vaincu il était anéanti et il c'est isolé. Depuis il est seul et on ne veut pas le déranger, on le retrouvera pour la veillée.
- Bien ne le laissait pas seul trop longtemps, nous avons tous encore besoin de lui. Il ne faudrait pas qu'il commence à boire.
- D'accord la prochaine fois, je te contacterais et Ramo nous aura ramené la fille. J'espère que nous aurons des bonnes nouvelles.
- Bien surtout n'allez pas laisser seul Ogray. Quand à moi je vais aller frapper quelques mannequins d'entrainements et les idiots qui oserons croiser mon chemin.  »

Lorsque j'avais engagé la communication avec Crogh, je me trouvais dans le baraquement qui était alloué à ma troupe. Mais à la fin de la conversation je suis immédiatement sorti afin d'aller vers le camps d'entrainement pour me défouler sur les mannequins d'entrainements. Une fois arrivé sur place j'ai enlever mes gants renforcés puis j'ai exploser plusieurs mannequins, cela me permettais de ne pas penser au sort de Mangorin. Maintenant le sort des rebelles était sans équivoque, tous périront pour venger la mort de notre frère. Alors que mon énième mannequins était réduit en bout de bois, un homme me parla :
« Alors on frappe des mannequins, on a peur d'avoir affaire à de vrai adversaires c'est sans doute pour cela que ta misérable troupe ne va jamais au combat. Ses amis rirent avec lui, je ne me suis pas aperçu de leurs venu, un signe que je m'était vraiment relâché.
- Qui est-tu pour oser me parler sale insecte ?
- Ce petit homme sais finalement parler en fin de compte, sache que je fait partis de la troupe de Wut et pas plus tard que hier nous avons pratiquement rasé l'avant-poste que nous avons attaqués et ramenés un des plus gros butin jamais ramené.
- Petit homme …. tu semble croire m'être supérieur car tu est plus grand et que vous êtes nombreux je vais donc te donné une leçon puis on en reparlera plus jamais.
- Je t'attend minus mais puisque je suis de bonne humeur je vais te prévenir que je suis un ancien gladiateur. »
Il est vrai que mon adversaire faisait bien plus de 2 mètre, et devait atteindre sans problème les 2 mètres 20, de plus c'était un montagne de muscle et le fait qu'il ne portait aucune armure semblais renforcer cette impression de puissance. Mais je me battais depuis de nombreuses années autant sur le champs de bataille que dans les tavernes et j'avais vraiment besoin de me défouler. Devant mon rictus moqueur il se lança en grognant sur moi, je fit un pas de côté afin d'éviter sa charge furieuse mais au dernière moment il écarta son bras et me faucha littéralement. L'assistance rit bien de cette chute mais elle ne m'avait rien fait si ce n'est qu'elle m'avait apprise la force de cette homme et que je devais me méfier de lui. Il chargea à nouveau et écarta ses bras afin de me laisser aucune chance mais j'avais déjà eu affaire à un combattant comme lui et juste avant qu'il ne m'atteigne je fis un pas en avant en évitant ses gigantesques bras je réussi à attraper sa gorge dans ma mains, le fait qu'il courait penché m'aida grandement pour le faire. Une fois sa gorge dans ma main je réussi en utilisant sa vitesse à le faire tomber en plein sur mon genou. Le bruit de sa colonne vertébrale brisé fut une douce musique à mes oreilles comme ses cris d'agonie mais pour ses amis se fut le signal de dégainer leurs armes pour me faire la peau. Ils étaient sept à vouloir me rayer de leurs existence mais ils auraient eu plus de chance si ils m'avaient tous attaqués en même temps malheureusement pour eux ce ne fut pas le cas. Le premier mourus avant même d'avoir compris comment, mon poing avait rencontré son nez qui était aller saluer son cerveau qui suite à cette rencontre c'était à jamais éteint. Les deux suivants envièrent le sort du premiers car l'un eu la trachée artère broyée et le second eu ses côtes brisés qui lui percèrent les poumons. Les quatre restant voyant le sort de mes adversaires furent plus prudent mais cela ne leurs servit à rien, deux d'entre eux se mirent de chaque côté de moi et un troisième entreprit de me contourner. Je n'allait pas me laisser faire et j'ai avancer vers celui qui était resté sur place. Voyant cela il s'avança à son tour vers moi avec sa rapière ainsi que les deux qui étaient sur mes côtés, ils arrivèrent vers moi en même temps quand au dernier il était trop loin pour faire quoi que ce soit. Les deux qui avaient une épée se sont embrocher mutuellement, lorsque je fis un pas en avant pour prendre la rapière des mains de mon ennemi et de lui planter en plein cœur. Le dernier pris de panique partis en courant mais je ne pouvait le laisser fuir, non par peur mais car il ne devait survivre. Je repris donc la rapière dans la poitrine du cadavre et elle fusa vers son crane. Malheureusement mon trait fut légèrement dévier par le colosse qui malgré sa colonne brisée réussit à m'attraper le pied alors que je lançais la rapière mais étant donné qu'il tomba il devait être mort. Pour lui faire payer cet affront je lui ais simplement brisé la nuque. Après m'être complètement défoulé je repris la direction de mon baraquement pour dormir.

Le réveil fut brutal pour toutes les personnes qui avait bu la veille, suite à mon altercation j'avais rejoins mes hommes et bu plus que raison pour oublier un peu mais ce matin tout m'était revenu et j'avais en plus un mal de crâne abominable. Malheureusement je n'était pas le seul, bon nombre de mes soldats avaient suivit mon exemple et tous les capitaines de ma compagnie n'avaient pas finis la soirée. Donc après un vote avec les capitaines nous avons décidé de ne pas attaquer un avant-poste aujourd'hui mais de mettre à profit cette journée pour renforcer les groupes et voir comme ils peuvent attaquer et se défendre mutuellement. Pour faire cela les cavaliers devaient apprendre à discuter avec les soldats car ce sont eux qui arrivent après la charge et peuvent aider ceux qui ont été désarçonné et les archers devaient eux aussi apprendre à connaître les soldats car une fois les salves de flèches lancés les soldats sont le rempart qui les protègent des assaillants. Bien sur une fois que les salves de flèches avaient atteins les adversaires et que les soldats étaient dans la mêlée les trois quart des archers doivent rejoindre les soldats afin de grossir les rangs pour que les archers restaient en retrait ne se fasse pas attaquer. Durant cet entrainement tous les soldats, les cavaliers et les archers ce sont mélangés car l'entrainement ne fut pas militaire mais pour faire fonctionner leurs méninges sous forme de jeux les participants devaient trouver un moyen de vaincre leurs adversaires en ayant un minimum de perte pendant ce temps là les spectateurs devaient dire si les combattants avaient trouvés la meilleurs solution face au adversaires rencontrés et à la fin lorsque toutes les hypothèses avaient été exploitées je donnais la meilleur version. J'étais fier de mes troupes car lorsqu'un ennemi se présentait devant eux ils trouvaient généralement la meilleur solution. Alors que tout ce passait pour le mieux, de l'animation se dirigeait vers moi, je ne pouvait savoir de quoi il en retournait car la foule m’empêchait de voir mais cela ne présageait rien de bon. Il se trouvait que cette animation c'était incarnée en la surprenante personne de Wut, qui pour je ne sait qu'elle raison avait décidé de venir observer mon entrainement. Une fois près de moi il me raconta une histoire, apparemment le dernier homme que j'avais voulu avait seulement été assommé et il été allé voir Wut afin d'en parler.
« J'aimerais bien savoir pourquoi tu attaque mes hommes ?
- Alors le dernier abruti est vivant, je savais que j'aurais du vérifier mais j'étais trop énervé pour réfléchir sainement, je pourrais savoir quel histoire il t'a raconté ?
- Tu nie pas ! Ryuko m'a dit qu'ils étaient allés à l'écart car ils avaient trouvés une caisse de bonne bouteille et qu'ils voulaient la boire tranquillement, le colosse Plot les accompagnaient. Alors qu'ils arrivaient sur l'aire d'entrainement tu les as immédiatement attaqués sans prévenir. Tu as subtilisé une des épées qu'un d'eux avait à la ceinture puis tu as commencé à les massacrer. Plot a réussi à te faire perdre des mains l'épée mais bon nombres de ses compagnons avaient déjà subis tes attaques, il cria à Ryuko d'aller chercher de l'aide quand tu lui as lancé la dague dans son dos, heureusement Plot réussi à dévié la lame et il fut seulement assommé mais il réussi à voir comment tu pris en traitre Plot afin de le vaincre.
- Alors d'après lui je les aurais attaqués. Même si je te dit que c'est l'inverse qui c'est produit tu ne me croira pas donc je n'ai aucune raison de parler avec toi, moi je connais la vérité et peut m'importe ce que tu pense. Maintenant part, je suis en plein entrainement.
- Tu vas me le payer ! Dit-il en dégainant son arme.
Les hommes venus avec Wut firent de même et ma troupe au complet dégaina à son tour.
- Nous avons déjà combattu et le résultat sera toujours le même, alors soit gentil et rengaine. De toute façons mes hommes te feraient la peau, ainsi qu'a tes hommes, même si jamais je venais à mourir. Alors va pleurer dans le jupe d'Artiams et laisse moi en paix.
- Ne t'inquiète pas, il sera au courant. Venez nous n'avons plus rien à faire ici. 
- Odtu, pourquoi l'entrainement c'est-il arrété ? Continuez je n'ais jamais donné l'ordre d'un quelconque repos. »
Wut reparti en direction de chez Artiams afin d'en parler mais je savais déjà qu'il ne verrais là que de la jalousie de la part de Wut.

La journée passa sans aucun autre incident et le soir je repris contacte avec Crogh afin de savoir comment se passerais le lendemain et si Ogray pourrais nous aider.
«Crogh c'est moi alors comment va Ogray ?
- Jerez …. Il va un peu mieux, disons que la venue de Ramo avec la fille lui as donné de quoi s'occuper l'esprit. Voici ce qu'il a découvert, apparemment le sortilège est irréversible, Ogray a passé plusieurs heures à essayer de trouver une solution et finalement il semblerais qu'il y ait un moyen de l'annuler. Lorsque Juraï a lancé le sort il a fait une petite erreur qui n'a en rien altéré le processus mais qui permet de l'annuler par contre cela va être bien plus dur que prévu car nous devons ramener la victime à l'endroit où l'envoutement à été fait c'est à dire chez le comte d'Arthy là c'était la partie facile car nous avons la fille et le lieu ne pose aucun problème mais nous devons aussi ramener le profiteur du sortilège c'est à dire le chef des bandits.
-J'ai mon idée je vais déclencher un renversement du "trône" mais je vais avoir besoin de vous, il faut donc que nous nous retrouvions demain à l'endroit où j'avais dressé mon campement en début d'après midi.. Et de votre côté renvoyez tout les habitants de tout les avant-postes à la capitales car je vais essayer de faire sortir tous les commandants, envoyez aussi une missive au comte et dit lui de réunir toutes ses troupes dans sa capitale et de demander à ses alliés de le rejoindre pour une bataille décisive.
-Bien à demain.»
Je pris donc la direction du baraquement qu'occupais mes recrues afin de leurs donner le programme du lendemain.
« Salut les faiblards !
-Salut chef, répondit Odtu. Je sais que cela vous amuse de nous donner des surnoms ridicules mais c'est vexant.
-Si on ne peux plus rire avec les jeunes, enfin bref je suis venu annoncer une nouvelle qui vous ferra plaisir. Nous devions partir à l'aventure mais vu que la plupart arrivait à peine à mettre un pied devant l'autre cela aurait été catastrophique et avec le groupe d'Islum qui n'est pas revenu pas mal de commandant se posent des questions. Alors demain nous allons, pour la première fois, partir à l’extérieur. Dormez tous bien car demain réveil aux aurores.»
Je suis alors reparti sous les acclamations lorsque Odtu m'attrapa par le bras afin de me parler.
«Chef, je sais que la disparition d'un commandant ne vous gène pas mais si nous sommes les seuls à partir les hommes risquent de ne pas être rassuré.
-Bien je vais aller parler avec les autres commandants et Artiams.
-Merci chef.»
J'ai donc pris la direction de la maison d'Artiams afin d'avoir une discussion avec lui, une fois sur place j'ai vu que la panique régnait sur les lieux. Le fait qu'une des troupes et son commandant étaient introuvable et la disparition de sa bien aimée ne devait pas vraiment arranger ses affaires à peine dans la pièce je l'entendit crier sur un malheureux messager :
«Peu m'importe que la nourriture se fasse rare les chasseurs doivent faire mieux et si les imbéciles qui pillent les avant-postes prenait de la nourriture à la place d'alcool cela irait beaucoup mieux.
-Bonjour Artiams, je viens vous informer de quelque chose.
-Ah c'est toi, Wut me l'a déjà dit tu était sans doute dans ton bon droit mais les tuer ou du moins laisser un survivant était complètement idiot maintenant du vent je suis préoccupé.
-Je le vois bien à l'agitation qui règne dans la pièce mais ce n'est pas de cela que je parle, j'ai décidé d'envoyer ma troupe faire son premier pillage. Ils ne sont pas tout à fait prêt mais comme je viens de l'entendre nous manquons de nourritures et une victoire pourrait redonner le moral après la disparition d'une troupe de plus nous n'aurons qu'a combattre des paysans et avec peu de chance mon ancienne compagnie.
-Bien je ne vois pas pourquoi tu viens m'en parler d'habitude chacun sort quand bon lui semble et me donne une partie de ses gains.
-Je ne veux pas vous apprendre à diriger mais faire comme cela peut entrainer à la révolte certes Wut et ses guerriers vous protèges mais même eux ne peuvent rien faire contre une révolte ou alors au fait que vous ne recevais pas la partie du butin qui vous reviens car il l'ont caché dans la forêt et ont dit à tous qu'ils partaient en exercice.
-Bien merci du conseil tu voulait autre chose ou tu venais me faire la morale ?
-En fait mes hommes on peur de partir seul après le disparition de la troupe, j'en vois qui rigolent mais ils ne sont pas les seul je suis sûr que dans chaque compagnies il y en a aussi, je veux donc savoir si certains veulent eux aussi sortir …. Bien je vois que cela n'intéresse réellement personne mais j'ai eu une idée jusqu'à maintenant les attaques n'ont étaient faites que sur les avant-postes nous pourrions tous sortir demain piller tous les avant-postes du comte et foncer sur sa capitale pour la piller une bonne fois pour toute voir nous y installer pour faire du grand banditisme à l'échelle mondiale.
-C'est une très bonne idée mais Wut, sa troupe et moi resterons ici jusqu'à la fin des hostilités afin de garder une voie de replie au cas où.
-Je vous remercie et c'est très astucieux.
-Bonne chance à tous et revenez vite avec la nouvelle de notre victoire.»

Le lendemain tous les régiments partaient dans la direction qui leurs avait été choisi la veille quand à moi je fis sortir mes troupes et fis halte à mon ancien campement attendant ma compagnie. Mon projet était ambitieux et je devais être sûr que tous les hommes présents me suivrait sans hésiter.
Je pris donc la parole devant tous mes soldats réunis :
« Messieurs je sais que vous êtes venus ici afin d'avoir une vie facile faite de pillage sur des paysans sans défenses certains pour pouvoir nourrir leurs familles d'autres car l'envie de guerroyer était trop forte et d'autres encore par appât du gain, ce que je vais vous dire risque de changer votre façons de voir ce que vous avez appris. Mon véritable but est la libération d'une jeune noble kidnappé par Artiams le chef des bandits, celui ci l'a enlevé à son père qui m'a chargé de la retrouver et de lui la ramener. Malheureusement il y a eu des complications comme le fait qu'il soit entouré d'une armée nuit et jour je l'ai rejoins en usant de ma renommé et pour endormir sa méfiance je vous ait entrainé.
-Alors ce que vous nous avez enseigné ne sert à rien nous ne sommes que des soldats de pailles juste bon à faire de la figuration, cria un homme dans la foule.
-Ce n'est pas vrai tout ce que je vous ais appris est vrai, les techniques que je vous ais enseignées fonctionnent et je les ais utilisées à de nombreuses reprises. Maintenant le choix vous appartient vous pouvez soit me suivre dans cette aventure ou soit rejoindre un autre régiment parti attaquer Arthy. Que ceux qui veulent partir le fasse rien ne le sera fait et ils pourront partir sans rien craindre de nous.
Un groupe d'une quinzaine de personne, dont l'homme qui avait remis mon enseignement en question, se mit à l'écart signifiant qu'ils ne souhaitaient pas rester.
-Me suivre n'est »pas sans risque certains seront blessés durant le combat qui va nous opposer aux troupes de Wut d'autres encore mourront, je veux que chacun réfléchisse à ce qu'il va faire.
Quatre autres personnes allèrent avec le groupe voulant partir.
-Ainsi vingt d'entre nous nous quittent ne leurs en voulaient pas chacun est libre de ses choix.»
Un fois le groupe parti il ne me restait plus qu'à attendre l'arrivé de ma compagnie. Celle-ci arriva et provoqua un remue ménage dans mes troupes. Une fois celle-ci auprès de moi et après les avoir salués et leurs avoir fait part de ma douleur de la disparition de Mangorin je fis de nouveau réunir mes troupes afin de leurs tenir ce discours :
«Maintenant que ma compagnie est arrivé nous allons pouvoir aller délivrer la jeune noble. Maintenant je vais vous faire part de plusieurs informations utiles, nous avons déjà sauvé la fille du comte mais celle-ci est sous l'emprise d'un sortilège lancé par le sorcier Juraï et nous devons avoir Artiams vivant pour briser ce sortilège. En ce qui concerne les possibles attaques du sorcier, je vous présente Ogray le mystique de la compagnie et sans doute le plus grand qu'Ilshenar ait jamais connu. Concernant la disparition d'Islum elle est en majeur partie du à la mort d'un de mes compagnons, celui-ci protégait un avant poste lorsque Islum l'a attaqué pour défendre l'avant poste que nous lui avions confiés il a armé les paysans et a fait une sortie audacieuse pour faire gagner du temps aux renforts alors qu'il était le dernier survivant des défenseurs un archer particulièrement chanceux réussit à lui ôter la vie. Ne pouvant supporter cela Ogray massacra tous les adversaires encore vivant et je pense que beaucoup regrettèrent de ne pas être morts avant même certains habitants eurent peur. Je vous dit cela pour que vous soyez informé car maintenant quelque chose qui me déplait mais qui est nécessaire va se produire. Odtu, tu va partir avec Yssur et cent homes tu va rattraper ceux qui nous ont quittés et tu va les éliminer jusqu'au derniers, ils étaient vingt compte les cadavres je ne veux pas qu'il en reste un seul.
-Mais chef vous aviez dit que vous les laisserais partir, j'en connaissait et ils ne sont pas mauvais.
-C'est un ordre, Yssur vous guidera jusqu'à eux et vérifiera que tous les hommes qui ont quittés le campement soit mort. Vous avez 2 heures prenez tous les chevaux disponibles pendant ce temps je vais discuter stratégie avec ma compagnie. »

Les guerriers étaient de retour au camps et une certaines agitation se faisait sentir, sans s’arrêter près de leurs compagnons, ils sont directement venu me voir.
«  Voici tous ce qui reste de ceux qui sont partis, je vous présente Quor qui vous a répondu lors de votre discours c'est le seul survivant, de notre côté pas de pertes à déclarés ils ne s'attendaient même pas à nous voir débarquer, dit Odtu les larmes aux yeux.
-Yssur pourquoi les as tu laissés ramener un survivant, j'avais bien dit qu'il ne devait pas y avoir de survivants.
-C'est vrai, comme je sais ce qui va se passer maintenant cela va sans doute redorer un peu ton blason et l'estime que tes hommes ont pour toi.
-Tu as raison comme d'habitude désolé. Ogray tu peux venir et t'occuper du prisonnier.
- Bien.
- Compagnons, je sais que l'ordre que j'ai donné a choqué beaucoup de personnes et que beaucoup d'entre vous ont désaprouvé, mais Ogray ici présent va maintenant lancer un sort qui va obliger Quor à dire la vérité. C'est bon ?
- Oui, vas-y.
- Pour commencer je vais commencer par des questions simple. Quel est ton nom ?
- Quor.
- Bien connais-tu les hommes qui sont autour de toi et qui sont-ils ?
- Ce sont mes anciens compagnons qui m'ont trahis. Un brouhaha s'éleva des hommes présent.
- Calmer vous c'est la vérité tel qu'il la voit pas la vérité universelle. Bien pourquoi nous avoir quitté et vouloir te battre contre tes compagnons ?
- Je ne suis pas resté car j'avais peur de mourir pour toi, tu n'en vaut pas la pène en plus tu ne tiens pas tes promesses.
- Bien maintenant dit nous ce que tu comptais faire.
- C'est simple, j'aurais continuer quelques lieue en plus puis j'aurais bifurqué pour retourner au camp et j'aurais averti Wut et Artiams de ton manège cela m'aurais valu une belle promotion, les autres m'auraient suivis sans trop de problème.
- Voilà maintenant vous savez pourquoi il fallait les éliminer, je savais que les traitres et les lâches partirais si je leurs laissait l'occasion comme cela j'étais sûr que les hommes restant me suivrait jusqu'au bout. Odtu maintenant à toi de voir si tu veux toujours lui laisser la vie sauve ou bien lui accorder une mort propre et rapide.
- J'ai choisi, dit Odtu en tranchant la tête de Quor.
- Messieurs, il reste encore quelques préparatifs avant de partir reposez vous bien vous en aurait besoin. »

Après avoir fait les préparatifs nous nous sommes mis en route, mes compagnons c’était déguisé afin de ressembler aux membres de ma troupe. Une fois devant les portes de l’enceinte les sentinelles nous ont demandé la raison de notre retour je leurs ai répondu que nous nous étions fait attaquer par des troupes et que nous venions informer Artiams que le comte d’Arthy devait lancer une offensive en même temps que la notre. Peu méfiant et nous reconnaissant la sentinelle fit ouvrir les portes afin que nous puissions délivrer notre message. Je pris donc la direction de la maison d’Artiams avec Odtu et j’ai dit aux autres de m’attendre et d’aller se mélanger avec les troupes de Wut. Une fois dans la maison j’entendis une conversation entre Artiams et Wut :
« Elle a disparu et cela doit faire plusieurs jours en plus celui qui l’a kidnappé à laisser un message disant “ J’ai kidnappé ce que vous aviez kidnappé n’y a-t-il pas une leçon à retenir ?“. En entendant ça j’ai pensé qu’il faudrait remercier Ramo pour ses traits d’esprits.
- Mais je croyais que Juraï avait posé des sorts de protections afin d’empêcher les intrusions.
- Oui mais apparemment ils étaient pas suffisant, je me demande comment a fait le comte pour se payer un aussi bon voleur.
-Il doit faire partie de la compagnie qu’il a engagée.
C’est à se moment qu’ils nous virent.
- Que faite vous ici ?
- Artiams nous sommes revenus car mes troupes ont été attaqué peu de temps après notre départ donc j’en ais déduit que le comte avait lui aussi lancé une offensive.
-Tu as bien fait. Dans ton ancienne compagnie y a-t-il un voleur ?
- J’ai entendu votre conversation et le trésor qu’il a pris devait être important, toujours est-il que le voleur qui nous accompagnez nous avait quitté donc soit il est revenu après mon départ soit un nouveau voleur fait parti de la compagnie.
- D’accord mais pourquoi est-tu revenu alors qu’un messager aurait fait l’affaire ?
- J’ai pensé que mes troupes ne seront pas de trop afin de défendre la place contre les attaquants.
A ce moment arriva Juraï en courant :
- Maitre, maitre je sens une aura magique très puissante en train de se rapprocher.
- Voila qui confirme mon idée, allons dehors afin de prévenir les troupes et de nous mettre en formation. Artiams il serait bon que vous sortiez aussi avec Juraï afin de galvaniser les troupes.
- Bon idée, Wut, Juraï et Jerez vous resterez près de moi.
- Bien chef.
- D’accord mais Odtu restera avec moi afin de faire parvenir mes ordres à mes troupes.
- Maintenant sortons.»
Une fois dehors, j’ai demandé à Odtu de faire envoyer un groupe d’éclaireur afin de connaitre la taille de l’armée adversaire et sa position. Il c’est alors suivit le plus stressant des moments, l’attente avant les combats.

Toutes les dix minutes, Artiams demandait à Juraï. où se trouvait l’aura magique qu’il avait senti et celui-ci lui disait qu’elle s’était arrêté. Le groupe d’éclaireur que j’avais envoyé est revenu indemne de son excursion et un des éclaireurs est venu directement me faire son rapport. Alors que celui-ci n’était qu’à quelques pas de nous Juraï se mit à balbutier, en pointant du doigt l’éclaireur, ses mots :
« C’est, c’est LUI !
- MAINTENANT ! »
Mes troupes n’attendaient que ce signal et chacun de mes hommes dégaina son arme et attaqua les troupes de Wut. Wut me regarda, lança “Traitre “ et m’attaqua. Ogray, l’éclaireur, se chargea de Juraï . Odtu sortis mon armé afin de s’en prendre à Artiams.
Alors que je tuais Wut avec une facilité insolente, Artiams tua Odtu. Pendant ce temps là les troupes de Wut tendait de résister mais les tactiques que j’avais apprise à mes troupes prenait au dépourvu ces hommes t la bataille de mage continuait à faire rage tout près de nous.
«  Tu vas le payer. Dis-je à Artiams qui se tenait au dessus du corps sans vie d’Odtu
- Pourquoi ? Voulu savoir Artiams
- Tu as kidnappé la fille du comte, tu est le contrat.»
Artiams était un bon bretteur, je comprenais pourquoi Odtu était mort mais fac à mon expérience il n’avait aucune chance. Après l’avoir désarmé, un coup du plat de mon arme sur sa tempe lui fit perdre connaissance. Alors qu’Ogray finissait d’abattre les dernières défenses de Juraï celui-ci utilisa un artéfact qui lui permis de quitter la bataille. Avant qu’il parte Ogray lui lança un dernier sort et lors de sa prochaine utilisation de cet artéfact il aura une surprise. Alors que les dernières poches de résistance étaient vaincues j’attachais Artiams avec une corde. Une fois rendu maitre du campement nous fîmes un état des troupes, une trentaine de guerriers étaient morts, cinq ne verrait pas le soleil se coucher, quinze ne pourrait plus combattre, une vingtaine avait subis de légère blessure et une dizaine avait besoin de soin dépassant les compétences d’Ogray mais compte tenu du fait que nos adversaire étaient deux fois plus nombreux et que c’était leurs première bataille ces chiffres étaient assez bon. La journée n’était pas fini et nous devions encore parcourir un maximum de distance afin d’arriver au plus vite à Arthy je me devais donc je faire un choix, soit nous y allions tous ensemble et cela prendrais plu de temps, soit seulement mes compagnons et moi irions à Arthy en première garde soit je divisais les troupes en deux. Il restait 120 hommes valide en prenant en compte les légèrement blessés donc je pris avec moi une cinquantaine d'hommes et le reste, comprenant les légèrement blessés, resterais avec les blessés graves et ferait des civières afin de les transporter jusqu'à Athy.
Les dix éclaireurs vivant se divisèrent en deux parties égales et nous prîmes avec nous en premier les blessés car nous avions Yssur avec nous et que le second groupe risquait de rencontrer des fuyards de la bataille d’Arthy. Un fois les deux groupes fait, chacun partis vers son objectif mais par des chemins différents. Nous avions pris tous les chevaux des guerriers de Wut ca là où ils se trouvaient ils n’en auraient plus besoin cela nous as permis d’avoir chacun un cheval et cela facilitait le transport des blessés.

Il nous faudrait une journée et demi pour retourner à Arthy, mais nous devions aussi faire attention à ne pas rencontrer trop de fuyards et en éliminer un maximum pour éviter à la seconde troupes de subir leurs assauts, Yssur et les éclaireurs étaient déployés en arc de cercle devant nous pour couvrir un maximum de terrain. Une fois le soir arrivé, nous avions parcouru une bonne partie du trajet et rencontrés aucuns fuyards. Nous avons donc installé le campement et installé des tours de gardes afin d'éviter d'avoir affaire à des troupes en déroutes. La nuit se passait bien jusqu'à ce qu'un cri réveille tous le campement, Aritams n'était plus à sa place, deux gardes étaient mort et Partiuy était introuvable. Il devait avoir vu Artiams partir mais pourquoi n'avait-il réveillé personne c'était la question. Yssur suivit donc la piste d'Artiams, nous avions remarqué qu'il avait pris les armes des gardes qu'il avait tués et donc qu'il faudrait l'approcher avec prudence. Alors que l'aube pointait nous avons retrouvé Partiuy, celui-ci était adossé à un arbre avec une flèche planté dans chaque jambes et chaque bras, il semblait être crucifié. Le supplice semblait durer depuis un certains temps, et Partiuy n'était toujours pas mort, Ogray l'examina et nous fit un signe négatif de la tête il ne pourrait pas survivre a ses blessures :
«  Nous vous inquiété pas les jeunes, j'ai vécu mon lot d'aventure. Ce chien c'est moqué de moi tout du long, il a retrouvé des fuyards et il m'a attendu ses flèches était empoissonnés il me l'a dit. Ce n'était pas un poison virulent mais simplement qui faisait souffrir lorsqu'il mourra je veux qu'il souffre aussi. Je pense que le comte ne souhaite pas qu'il meure, il rendra sa propre justice mais si il est trop clément changez sa justice. Ogray, je sais que tu ne veux pas le faire mais je te demande de griller mon cerveau cela mettra fin à mes souffrances et vous pourrez rattraper ce chien. Jerez tu est un bon chef ne laisse pas l'or et la renommé te monter à la tête et protège toujours les faibles comme lorsque je t'ai rencontré.
- Partiuy merci pour tout et puisse retrouver tes amis lors de ton voyage.
-Allez petit part maintenant, inutile de rester au chevet d'un vieux mourant. »
Partiuy mourra simplement entouré de ses compagnons mais le voir dans cet état alors qu'il était notre père à tous nous fit jurer de faire payer à Artiams son forfait.
Artiams et ses renforts étaient un peu plus loin et avaient fait un campement sommaire pour attendre le lever du jour. La bataille fut brève les archers criblèrent de flèches les renforts d'Artiams tandis qu'Yssur lui plantait des flèches dans ses jambes afin de lui faire subir ce qu'avait subit Partiuy. Une fois Artiams récupéré et ses renforts exterminés nous avons attendu les troupes resté au camps qui l'avait démonté et qui devaient nous rejoindre avec les chevaux. Ogray lui lança un sort de mutisme et un sort de proximité qui lui infligeait de la souffrance si il se trouvait trop loin d'Ogray. Une fois toute la troupe réunit nous avons repris la direction d'Arthy. Le voyage se passa sans autres incidents mis à part quelques souffrances pour Artiams et le meurtres de pas mal de fuyards venu voir leurs chefs. Une fois à Arthy nous avons pu voir les dégâts engendrés par la bataille, les rebelles n'avait aucun mages de leurs côtés et très peu de cavalerie, les défenseurs quand à eux avait reçus des renforts, des armes de sièges et avaient un nombre assez important de mages et de cavaliers cela avait du être un massacre d'autant plus que les défenseurs était des personnes rompus à l'art du combats et les quelques vétérans de l'offensive n'avait pas du changer grand chose. Nous ne primes pas la peine de parler avec les guerriers qui avait défendu le village, nous informa simplement les gardes de qui nous étions et pour montrer notre bonne foi la troupe que j'avais entrainé est resté dehors. Nous sommes allés directement rejoindre Ramo et la fille du comte pour ensuite le voir.