Un vieux, pas connu...

Une petite escoude de cavaliers se présente devant les portes de Parjhom.
sans bannière distinctive, la formation se compose d'une vingtaine de cavalier lourdement armés, précédant deux chariots de transport, encadrant un personnage à la carrure impressionnante, monté sur un destrier de taille lui aussi hors normes.
les Halbardiers, de faction devant la porte forment aussitôt un ligne, armes en avant, devant les portes de la forteresse afin de signifier aux nouveaux arrivants qu'ils doivent s'arrêté là.

le capitaine de la garde prennant la parole:

"bonjour, étranger, veuillez décliner votre nom et la raison de votre venue"

l'homme au milieu des cavaliers s'avança seul vers le capitaine

"Salutations, je suis Ragnarock, Seigneur de l'Outre-pays, et je suis à la recherche d'un vieil ami, le Seigneur Gueren, aussi le connaissant vous seriez bien aimable de m'indiquer la meilleur taverne de votre cité"

la capitaine réfléchi rapidement...
"Seigneur Ragnarock, jamais entendu parlé de vous en nos murs, mais effectivement vous avez l'air de bien connaitre le Seigneur Gueren. Vous pouvez entrez, cependant vos hommes doivent rester à l'extérieur.

Ragnarock se tourna vers l'un de ses hommes:
"Djërun, fait monter le camps, position défensive, avec les zombies qui traînent mieux vaut être prudent et puis fait venir le chariot pour Gueren."

C'est avec beaucoup de retard que je viens vous souhaiter la bienvenue en ces murs, seigneur Ragnarock.

Oui, votre renommée vous a précédé, et votre amitié avec Gueren est notoire.


Faites ici comme chez vous, et j'espère que vous êtes parvenu à trouver votre chemin dans cette forteresse jusqu'aux appartements du seigneur Gueren.

Ne vous en fait pas pour le retard Seigneur Anarion, je viens ici à titre personnel, et non en tant que diplomate de la CCO, par ce fait je n'ai pas annoncé mon arrivée et je ne m’attendais pas à être accueilli par quelqu'un de votre rang.
Néanmoins je suis honoré de votre accueil, permettez mois à ce titre de vous offrir une bouteille de ma nouvelle cuvée. il s'agit d'un alcool tout à fait léger certes, mais dont le goût sucré aiguise l’appétit et comme à chaque début (de repas) il y a une fin permettez que j'y joigne une bouteille de ma spécialité, du 30 ans d'âge, pour une digestion parfaite des mets les plus raffinés.
ceci dit et entre nous n'abusez pas trop du 30 ans d'âge, au bout de 2 litres ça pique un peu les yeux...

Quand aux appartements de Gueren je pensai commencer mes recherches dans la meilleur taverne de votre cité

Un grand merci pour votre invitation à partager cette bouteille. Je ne sais plus guère apprécier de telles boissons, aujourd'hui, mais je saurai quand même reconnaître un cru exceptionnel si longtemps et si bien conservé.

Et la promesse qu'il me piquera les yeux m'encourage, oui... Cela fait bien longtemps aussi que rien ne m'a piqué les yeux...


Entrez, entrez dans la ville ; ne vous en faites pas, ne vous laissez pas impressionner par son côté inquiétant ; la citadelle n'est pas si austère qu'il n'y paraît, et les gens ici, même s'ils peuvent sembler durs ou froids, savent s'y amuser et apprécier les plaisirs ordinaires.


Et peut-être saurez-vous trouver votre ami dans l'un ou l'autre de ces lieux de plaisirs...

Seigneur Nehek, c'est un honneur que de vous rencontrez, j'étais justement en train de remercier le Seigneur Anarion pour son hospitalité, laissez moi vous offrir les mêmes présents...

mais ne vous souciez ni de me préparer des appartements ni de mes troupes, car soit je trouve Guerren et je pense que nous trinquerons toute la nuit (ou nous nous endormirons sur une table par manque d'endurance), soit je ne le trouve pas et dans ce cas je repartirai rapidement.
le Monde ne s'arrête jamais de tourner et je ne peux laisser mes affaires en cours sans surveillance

Le grand Seigneur Ragnarock était parmi nos murs,je me mis donc en route pour la saluer.Je l'avais connu ,quand il était encore un fléau d'Ilshenar,c'était une personne ma foi fort sympathique.

Je m'inclina devant lui avant de poursuivre.

Seigneur Ragnarock,je suis honorer de poivoir vous revoir,et je vous souhaite la bienvenue en ses lieux,sans nul doute que le Seineur Guerren ,dois,comme souvent,inspecter une de nos auberges.

Je laissa apparaitre un sourire.